• craquage à l'anglaise
    La Lectrice

    Craquage à l’anglaise…

    Vivre dans une petite ville anglaise implique forcément son lot de “charity shops”. Je passe très régulièrement dans ces petites boutiques près de chez moi où je trouve d’occasion vêtements, vaisselle ou livres, dans le principe d’Emmaüs en France. Le problème : les livres y sont ridiculement peu chers, le choix énorme et pire encore : en achetant on se dit qu’on fait une bonne action puisque tout l’argent est reversé aux différentes associations caritatives que le magasin défend. Autant dire que quand je trouve un livre qui m’intéresse en bon état, je repars quasi-immédiatement avec. Presque à coup sûr. Autre facteur de craquage : toutes les librairies indépendantes aux quatre coins de…