• craquage à l'anglaise
    La Lectrice

    Craquage à l’anglaise…

    Vivre dans une petite ville anglaise implique forcément son lot de “charity shops”. Je passe très régulièrement dans ces petites boutiques près de chez moi où je trouve d’occasion vêtements, vaisselle ou livres, dans le principe d’Emmaüs en France. Le problème : les livres y sont ridiculement peu chers, le choix énorme et pire encore : en achetant on se dit qu’on fait une bonne action puisque tout l’argent est reversé aux différentes associations caritatives que le magasin défend. Autant dire que quand je trouve un livre qui m’intéresse en bon état, je repars quasi-immédiatement avec. Presque à coup sûr. Autre facteur de craquage : toutes les librairies indépendantes aux quatre coins de…

  • book haul vo
    La Lectrice

    Le Book Haul VO qui fait mal aux fesses

    Il y a pile un mois j’achetais mes premiers livres VO en Angleterre, et depuis c’est plus ou moins un craquage permanent. Il faut dire que depuis des mois, je n’achetais plus aucun livre en anglais en me disant : mais naaan, t’achèteras tout en Angleterre, ça sera quand même bien plus logique. Je ne sais pas si ça l’était mais en tout cas en moins d’un mois, j’ai déjà fait un carnage. Quand j’ai découvert les charity shops… Premier arrêt dévastateur : les charity shops. Le genre de magasins où rien n’est cher, puisqu’il s’agit de petites boutiques où tout est revendu à des fins caritatives. Des Emmaüs, ni plus ni moins, qui…